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Sujet: Sunday Night Wrestling II. Mer 11 Mai - 20:05
LWP SUNDAY NIGHT WRESTLING II. 13RD MARCH 2011. LIVE FROM DALLAS, TX.
L'histoire est en marche, la légende est en route, la Legendary Wrestling Project est lancé depuis maintenant une semaine et tous les fans de lutte sont sous l'extase d'un premier show qui s'est avéré plus que réussi. Et ce soir, nous remettons le couvert, pour la seconde édition de Sunday Night Wrestling, toujours à l'American Airlines Arena de Dallas. Il se murmure d'ailleurs que Mark Cuban serait en backstages ce soir pour assister au show, mais rien n'est sûr. Une chose est sûre, tous les tickets de ce second show ont été vendu après l'énorme succès du premier Sunday Night Wrestling et nous serons, pour la seconde fois de suite, à guichet fermé. Les fans font d'ailleurs la queue avant de rentrer dans l'arena. Voici d'ailleurs l'un d'entre eux qui semble très heureux d'être ici.
Certains ont même un accès VIP et se retrouvent dans les loges alors que d'autres sont en train de commander du popcorn. Jonathan Coachman, lui, se veut metteur d'ambiance sur le ring alors que Lillian Garcia signe quelques autographes dans le hall d'entrée. Howard Finkel, lui, discute avec un officiel à propos des darks-matchs qui ont eu lieu il y a quelques minutes de cela.
Jim Ross et Jesse "the Governor" Ventura prennent placent à la table des commentateurs sous une ovation monstre des fans présents ce soir qui, une fois encore, sortent les pancartes en l'honneur des stars de la fédération. "Cena is next !", si seulement ça pouvait être vrai. "Orangina > Coca", surement une référence pour dire que les Chinois sont plus importants que les noirs. "On vous fist !", coucou BES. "La NoW va fermer ses portes", encore un Chinois qui s'est perdu. "Taz's got a mission", ou un jeu de mot de merde. "LWP is JBL", vive le Texas. Mais pas le temps pour continuer, les pyrotechnies explosent partout, le show débute vraiment et les fans qui en ont bien conscience donnent de la voie. Everything is bigger in Texas !
Et entre les cris des uns, les évanouissements des autres et les orgasmes de ces jeunes femmes en chaleurs, nous retrouvons Jim Ross qui nous souhaite la bienvenue. Il nous dit que ce soir est une soirée à ne manquer sous aucun prétexte et que le Main-Event de la soirée ne sera nul autre qu'un Extreme Rules Match entre Mick Foley et Raven. Ventura prend à son tour la parole pour dire que le vainqueur de ce match affrontera Randy Orton lors de Thunderstorm, premier Pay Per View de la fédération, pour avoir une chance de remporter le titre de champion de la LWP. Ross affirme également que ce soir, nous connaitrons l'identité des adversaires des Dudley Boys pour les titres par équipes. Il affirme également que le reste du programme est très riche avec notamment John Bradshaw Layfield qui doit faire une intervention depuis son bureau.
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Mais pour l'heure, nous allons avoir le droit à tout autre chose, mais ça vaut quand même le détour. Ross semble d'ailleurs tout excité.
Le visage est fermé, l'attitude est provocante, et la démarche lourde. John Cena est le premier lutteur à faire son entrée ce soir pour Sunday Night Wrestling II. La foule ne s'y trompe cependant pas, et comme la semaine dernière, la réaction se situe entre les huées et les encouragements. Quoiqu'il en soit, Cena reste sur la rampe d'accès et regarde la foule pendant plusieurs dizaines de secondes avant de finalement porter un micro à son bouche.
Le Champ' affirme ne pas être là pour parler de sa défaite face à CM Punk la semaine dernière, prétextant le fait qu'une défaite n'est qu'une défaite, et que perdre face à Punk ne signifie rien. Il change ensuite complètement de sujet pour parler de ses t-shirts, affirmant que le t-shirt orange du soir est uniquement dans un but marketing, pour faire de l'argent. Cena cherche ainsi à montrer qu'il rentre parfaitement dans le moule de la LWP, dont le principal objectif est de faire du bénéfice.
Mais la réelle raison de sa présence ce soir, c'est parce qu'il souhaite revenir sur ce qu'il a dit la semaine dernière, et surtout sur la réaction de la foule. John rappelle qu'au moment où il annoncé vouloir être le meilleur divertissement possible pour les fans, ces derniers ont scandé le nom du Rock. Ce même Rock qui a fait son retour à la WWE le 14 février de cette année 2011. Cena affirme donc que toutes ses personnes suivront avec envie Wrestlemania rien que pour voir le Rock. Lui, pourtant, il ne regardera pas le show, non. Et il ne comprend pas non plus l'enthousiasme de la foule à l'égard du Rock.
John affirme ne pas comprendre pourquoi les fans adulent un homme qui n'était plus apparu dans un Wrestling Show en direct depuis 2004. Il ne comprend pas non plus pourquoi le Rock est autant acclamé grâce à ses promos qui ne sont que des promos pré-fabriquées et que le Rock ne fait que réciter un texte bêtement. Le Doctor of Thuganomics poursuit en affirmant que contrairement au Rock, ce qu'il dit n'est pas scripté, qu'il travaille autrement, lui. Lui, il a travaillé toute sa vie pour être un lutteur professionnel. Son seul et unique a toujours été d'être dans un ring de catch, contrairement au Rock qui ne voyait à travers le Wrestling qu'un moyen pour accéder à une carrière cinématographique.
Oui, John a aussi fait des films et de la musique, mais il reste avant tout un lutteur, ce que le Rock n'est plus. Cena se demande comment les fans peuvent attacher autant d'importance à un homme qui a tourné le dos à tous ses millions de fans il y a plusieurs années de cela, sans jamais se soucier de ce qu'ils pouvaient penser alors que lui est un lutteur controversé alors qu'il met son corps, sa sueur et son cul en jeu chaque soir pour divertir les fans ! John semble vraiment remonté et lorsqu'il prononce une nouvelle fois le nom du Great One, la foule se met à scander son nom. Oui, les "Rocky, Rocky, Rocky" résonne dans toute l'American Airlines Arena.
Le Champ' termine en affirmant qu'ils peuvent scander le nom du Rock autant qu'ils veulent, le fait est que Cena est encore une fois là pour donner tout ce qu'il a pour le Wrestling Business alors que le Rock, lui, est simplement à la WWE pour le spectacle et un gros chèque de Vinny O' et que, rien que pour cela, les fans devraient ouvrir les yeux sur qui est vraiment le champion du peuple. Cena finit par lâcher le micro et quitte le ring à la même vitesse qu'il était arrivé.
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Nous allons enfin pouvoir passer au premier match de la soirée après cette intervention de John Cena. D'ailleurs, voilà une sacrée paire de boobs.
Toute fédération a son superhéros officiel. A la LWP, c'est Hurricane.
Trish Stratus vs. The Hurricane Hurricane arrive dans le ring, et il regarde perplexe son adversaire qui est une femme. Il rit un peu et lui indique la sortie, lui faisant comprendre qu'il veut un mec comme adversaire, mais Trish Stratus s'avance vers lui et lui colle une énorme gifle dans la face, et enchaîne en portant des coups de pieds divers, au visage et dans l'abdomen, qui en l'espace de deux minutes s'est retrouvé au sol par la sublime Trish. Cette dernière continue avec hargne, et prend la tête de Hurricane et la cogne contre le sol du ring, mais Hurrcane parvient à contrer et porter une gifle à Trish, il se relève et Trish se rue vers lui mais ce dernier la stoppe en portant un coup de pied dans l'abdomen avant d'enchainer avec un Suplex mais Trish parvient à le contrer en retombant sur ses jambes. Elle porte deux coups de pieds sur les genoux de Helms, qui le font flancher avant de prendre son élan et porter un Hurrancana. La foule est en complète osmose avec Trish, et elle est prête pour porter son célèbre finisher : Stratusfaction. Et c'est portée à la volée, superbe exécution de la part de la Diva, qui désormais cloue les épaules de Hurricane au sol, c'est la joie et la folie dans l'arène avec la victoire de Trish. Vainqueur : Trish Stratus.
Comme quoi, les femmes sont parfois plus fortes que les hommes, une victoire dédicacée aux fans par la Canadienne.
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Les deux larrons que sont Miz et Morrison arrivent vers le ring tout sourire, ce dernier est déjà installé avec de magnifique tabouret et comme couverture de ring, le nom "dirt sheet" en lettre hollywodienne. L'équipe commence par se présenter comme le duo du business avec le plus de talent, qu'il ne sont pas qu'une simple meilleur équipe d'une année mais du millénaire. Il continue en disant qu'ils voulaient le prouver clean à cette fédération, mais que si leurs adversaires jouent avec d'autres règles, ils n'hésiteront pas à employer tout les moyens pour remporter la victoire.
Le dirt sheet continu dur une imitation de Jericho, ils annoncent avoir bien entendu les paroles de Y2J et que leur vraie réponse viendra à heure voulue. Ils s'appretrent à annoncer au public qui les huent qu'ils ne sont que des jaloux quand un theme song les coupe.
L'équipe Portoricaine débarque et expliquent que depuis tout à l'heure on leur rabache les oreilles avec des débilités, et que ce n'est pas cool. Ce qui est cool ce serais de voir un combat, maintenant. Après une seconde de réflexion, Miz et Morrison acceptent.
The Colons vs. The Dirt Sheet Les Colons ont l'air chaud bouillant pour ce premier match, alors que le Dirt Sheet est plus concentré, leur défaite de la semaine dernière semble leur être resté en travers de la gorge. John Morrison et Carlito commencent à s'affronter mais nous n'avons pas le droit à de réels coups et c'est plus un échange d'esquive acrobatique et de contre qui dicte ce début de match. Finalement après un blind tag de Primo sur Carlito, le jeune frère Colon envoie un puissant saut chassé dans le visage du shaman of sexy qui sèche ce dernier qui n'a pas vu le coup venir. Ce dernier subit les coups d'un Primo déchainé mais profite d'un moment d'inattention de son adversaire pour taper dans la main de son partenaire. Avec le Miz la finesse et la voltige ne sont pas de mise, il adopte un style brawler pour couper les ailes à Primo. Puis se dernier un peu sonner il l'envoie de son côté pour faire un travail en équipe avec son ami. Le pauvre Primo subit les coups mais arrive à éviter deux fois le tombé. Finalement grâce à une galipette, c'est Carlito qui est l'homme légal sur le ring, il par pour un back stabber, mais le chick magnet contre en tenant les cordes et enchaine avec son reality check. Puis il fait le tag sourire au lèvre, The guru of greatness frime devant Carlito qui en devient hystérique et court vers les cordes pour d'envolé en Lionsault. S'en suit un tombé expéditif. La Dirt sheet célèbre avec le taunt de Jericho. Vainqueur : The Dirt Sheet.
Une victoire et en plus en utilisant le finisher de Chris Jericho, qui a dit que le Dirt Sheet avait envoyé un message à l'Ayatollah of Rock'N'Rolla ?
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Après cette victoire de Dirt Sheet (mais surtout cette deuxième défaite des Colons, mouhahaha), les caméras de la LWP sillonnent les coulisses à la recherche d'actions croustillantes. C'est donc tout logiquement qu'elles s'arrêtent dans la loge de CM Punk lorsque Steve Corino y fait son entrée. Ici il n’y a ni alcool, ni drogue, c'est une loge Straight Edge quoi. Punk se prépare tranquillement pour son match sans même prêter attention à son visiteur.
Très à son aise, très old school style, Corino commence par demander à Punk s’il est content de lui, c'est-à-dire s’il est fier de ce qu’il est et de ce qu’il représente. Corino doit se répéter et CM répond avec beaucoup de détachement qu’incontestablement oui. Il est fier de lui, il est sûr de lui et n’a pas besoin de le dire car ça se voit. Pourtant Corino lui avance que tout ce qui lui à vu, c’est que Punk s’est anormalement transformé durant son passage à la WWE, le faute aux stéroïdes et autres painkillers selon-lui, qui trainent abondamment dans ces backstages. Punk dément, durement, il est Straight-Edge à la vie à la mort et d’après lui si un des deux a un problème, c’est bien Corino. Pour Punk celui-ci a reçu trop de coups durant sa carrière, de chaises et d’armes en tous genre, ce qui l’a rendu fou et qu’il serait peut être temps de penser à arrêter avant qu’il ne soit trop tard.
Regard froid entre les deux hommes avant que Steve ne quitte la pièce.
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Nous sommes en coulisses avec Lilian Garcia. Chavo Guerrero passe près de l'intervieweuse tandis qu'elle tente d'arracher des explications au Mexicain sur ces actions de la semaine passée à l'endroit de Shawn Michaels. Chavo regarde Lilian Garcia avec dédain avant de continuer sa route mais la belle se montre insistante et hurle plusieurs fois le prénom de Chavo.
Ce dernier fait alors volte-face et s'approche du micro de Garcia. Chavo dit que son nom est Salvador Guerrero III a.k.a. "The Last Latin Legend" et que Chavo Guerrero, le poltron qui se faisait marcher sur les pieds est mort et enterré. Guerrero ajoute qu'il avait prévenu tout le monde qu'il ne laisserait plus jamais personne lui prendre sa place. Nous n'en saurons pas plus pour le moment.
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La suite du programme, c'est un duel de Canadien ce soir, le premier nous viens de Toronto, vous le connaissez tous, il s’agit de la Superstar Classée X.. J’ai nommé Edge !
De l’autre coté, je demande du Old School et j’en demande même le roi .. Steve Corino !
Steve Corino vs Edge. Petite periode d’observation entre les deux canadiens qui semble vraiment décidé a ne pas faire la moindre erreur ce soir. Edge attaque le premier et s’en suis un long passage technique ou chacun semble esquiver la prise de son adversaire mais Corino a un petit dessus et se permet de secher Edge avec une Lariat bien placé. C’est alors que s’amorce une grosse periode de domination de la part du King of Old School a base de prise lentes et methodiques notamment sur le coup de Edge, qui, comme tout le monde le sais, est un point sensible. Camel Clutch tenté par Corino mais Edge attrappe intelligemment les cordes et c’est de cette facon qu’il inverse la tendance et qu’il reprends la main ! European uppercut, Canadien Backbreaker sans oublier un magnifique Edgecution porté avec un maximum d’autorité. Mais Corino ne semble pas fini pour autant alors qu’Edge se prepare a porter un Spear.. Esquivé. Corino saisi l’opportunité et enchaine avec un Old School Bomb des ecoles. Edge semble dans un autre monde mais se degage quand même. La foule commence a donner de la voix alors que Corino se prepare a.. SPEAR ! Edge viens de secher Corino et semble bien partit pour s’assurer une victoire tout ce qu’il ya de plus significative.. Mais Corino se relève ! Edge va se plaindre a l’arbitre, expliquant que le match devrait être plié et qu’il devrait avoir sa main levée bien haut dans le ciel de Dallas. Mais il n’en est rien, par contre.. Old School Kick ! C’est le deuxième finisher que se prends Edge en l’espace de quelque secondes. Est-ce que cela sera suffisant ? Oui, le compte est bon et c’est une nouvelle victoire pour Steve Corino. Victoire : Steve Corino.
Le King of Old School repart a nouveau victorieux, two in a row, peut-être le debut d’une longue ligné?
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Le match opposant Steve Corino à Edge vient de se terminer et alors que certains en profitent pour allez faire le plein de bières et de popcorns, d'autres font leur métier, c'est notamment le cas de JBL qui est dans son bureau avec tout un tas de paperasse, et un cigare à la main. D'ailleurs, on l'entend assez facilement s'énerver, ayant mit des cendres sur un document officiel. Bradshaw n'a cependant même pas le temps de souffler car on vient l'interrompre, et il s'agit de Randy Orton. Layfield lève enfin la tête de ces documents.
Randy apparait avec un large sourire sur le visage, ce qui ne semble pas plaire au General Manager qui lui demande d'un ton sec ce qu'il veut. Orton lui répond qu'il n'attend absolument rien, et qu'il est juste venu remercier Bradshaw pour lui avoir donné cette chance pour le titre de la LWP à Thunderstorm. Le Legend Killer affirme que cette chance, il ne la laissera pas passé et qu'il faut s'attendre à ce que les légendes tombent une à une lorsqu'il aura entamé son règne de champion du monde. JBL, lui, rigole entre deux inspirations sur son cigare. Il dit qu'il n'a pas donné cette chance à Orton parce qu'il l'aime bien, mais parce qu'il sait qu'il saura faire le spectacle.
JBL ajoute que, pour lui, faire le spectacle signifie une retombée d'argent par la suite et qu'Orton est donc parfait pour ce rôle. Il met tout de même un bémol, affirmant que tout ceci ne veut pas dire que le titre de la LWP doit être souillé ou dé-crédibilisé et par conséquent, ce soir, Randy Orton aura un match, face à Chris Jericho ! Le visage du Legend Killer s'assombrit, visiblement il n'est pas des plus heureux suite à cette annonce.
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C'est un moment historique que l'entrée du Heartbreak Kid lors de ce Sunday Night Wrestling II. C'est la folie, certain pleurent, d'autres sont en joie mais tous son unanimes, ce moment est historique. Il n'avait plus catché depuis WrestleMania XXVI quoi.
Pour le gros Show c'est autre, mais l'entrée d'une telle masse ne laisse jamais personne indiffèrent.
Shawn Michaels vs. The Big Show Le début de match est enflammé par Shawn Michaels qui enchaine des moves de légende. Le public exulte quand, après avoir fait chuter le gros Show, il monte sur l'un des coins du carré magique. Mais lorsqu''il se jette Show l'intercepte et l'on croit au chokeslam jusqu'au moment ou HBK s'extirpe de l'emprise du géant. Le match a tourné. C'est maintenant Show qui domine et par son poids écrase même la rencontre. Shawn et au sol et son adversaire, tout naturellement, lui marche dessus. Il ne lui en faut pas plus pour tenter le tombé comme il en faut bien plus au Showstopper pour abdiquer. Il se laisse alors glisser hors du ring et quand le Big Show se glisse à sa suite lui décroche un Sweet Chin Music from nowhere. Hors du ring, c'est du côté de la table de JR & JV que ça se passe. Michaels parvient à allonger un Big Show inconscient dessus et l'on devine ce qui va se passer. Il monte sur le coin le plus proche et après avoir fait chanter la foule, saute. C'est alors que l'allongé tend le bras et l'Icon se prend l'énorme main de Show en plein visage alors que celui-ci encaisse le diving elbow drop venu d'ailleurs. L'arbitre compte et le public avec. 1, 2, 3 [...] 9, 10. Vainqueur : No-Contest.
Shawn Michaels est à terre, les yeux dans le vague. Le Heart Break Kid tend l'oreille pour mieux entendre la foule scander « HBK » à répétition. Michaels se relève lentement à l'aide des cordes et demande un micro à l'officiel le plus proche qui ne se fait pas prier pour le lui donner. Michaels a besoin de quelques instants pour réussir à prendre la parole. Michaels dit que son rêve de remonter sur le ring a été sali par l'attaque de la semaine dernière et que c'est un comble que le Showstopper n'ait pu stopper le Big Show. Michaels demande alors à Salvador Guerrero III de venir se battre comme un homme, maintenant !
The Last Latin Legend ne se fait pas prier et se pointe en remontant ses manches, le regard déterminé. Salvador s'arrête à la moitié de la rampe d'entrée et demande un micro à son tour. Guerrero doit attendre quelque minutes que la foule se taise avant de prendre la parole. Il explique que s'il a refusé de répondre à Lilian Garcia, c'est parce qu'il est un homme d'honneur et qu'il préférait attendre d'être face à face avec le Boy Toy. Guerrero dit qu'il a attaqué Michaels pour la même raison que son départ de la WWE : Qu'il ne laisserait plus personne lui prendre sa place. Guerrero dit que les jeux de politique sont terminés et que les pitonnages de The Kliq s'arrêtent ici. Salvador poursuit avec le fait que de tous temps, on a mis Michaels sur le devant de la scène et qu'on a fait de lui la plus grande légende texane et que c'est de la connerie car Michaels n'est rien à côté de la dynastie Guerrero. Guerrero dit que Michaels n'a jamais aidé personne et qu'il a laissé ses anciens élèves croupir dans l'oubli sans les aider à sortir de la tête de l'eau. Salvador III dit que ça a été le cas pour Lance Cade et que ça n'arrivera à plus aucun autre puisque Michaels ne luttera plus jamais ! Michaels fait alors signe à son interlocuteur de venir se battre, ce qui amène un sourire sur le visage du dernier Guerrero en activité. Ce dernier reprend le micro et dit que si Michaels veut se battre avec un mexicain en colère alors... Il ferait mieux de se retourner !
Michaels se retourne pour tomber nez à nez avec Shawn Hernandez, son ancien élève. Ce dernier démolit Michaels pendant de longues secondes en lui assenant tous ses moves les plus dévastateurs. La rixe se conclut sur un Border Toss de Supermex qui envoie le heart Break Kid de l'intérieur à l'extérieur du ring pour un vol première classe. Supermex descend finalement du ring pour rejoindre Chavo sur la rampe d'entrée. Les deux mexicains du Texas se serrent la main tandis que Michaels est inanimé, sous le regard impuissant des fans.
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Les fans du heartbreak kid pleurent et Jim Ross vient d'avouer avoir commencé un régime très récemment. Le rapport ? Aucun. Ce qu'il y a d'intéressant là-dedans ? Rien. La tension ? Au maximum quand à l'écran l'on voit le Big Show se rendant sur le ring pour son match et Kevin Nash se croiser. Enfin, se croiser implique un mouvement (ou pas, j'fais pas des maths moi) or là le deux monstres ne bougent pas et se regardent fixement, face to face, droit dans les noeils.
C'est hallucinant, aucun ne vacille. Jesse Ventura lui-même avoue n'avoir jamais vu des paupières ouvertes aussi longtemps (ça doit être le genre de truc qui se note dans un petit carnet ça). Les stagiaires précipités à ramener un café au boss évitent les colosses, une personne semble prolonger son petit voyage au toilette pour ne pas gêner et c'est seulement après six autres actions comme celles-ci n'ayant aucun intérêt, servant uniquement à meubler que nos deux géants se séparent sans un mot. C'est ce qu'on appelle la grande classe, tenir tout un public en haleine sans une parole. Comment ça on a déjà vu ça ailleurs ? Bah, on déjà vu les Dudleyz catcher et pourtant JR annonce le match qui suit comme un match exceptionnel. Les caméras ne s'y trompent pas et se braquent vers le ring.
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Et voilà Brother Bubba & Brother Devon, The Dudley Boyz
Une équipe impropable, est-ce que les deux vont pouvoir s'entendre ce soir ?
The Dudley Boyz vs. Kevin Nash & Rey Mysterio C'est Kevin Nash qui commence mais visiblement Rey Mysterio ne semble pas réellement d'accord, mais Big Daddy Cool débute face à Brother Bubba, et c'est Kevin Nash qui lance les hostilités en frappant au visage Brother Bubba, il l'envoie dans les cordes avant de le faire passer par dessus ses épaules. Mais cette domination n'est qu’éphémère. En effet, Brother Bubba parvient à se défaire des poings donnés par Nash et le propulse dans le coin ou il effectue le tag avec Devon, il effectue un coup de pied dans son abdomen, avant de le soulever et de lui porter un Powerslam, il enchaîne en l'envoyant à nouveau dans les cordes mais Kevin Nash parvient à se défaire de l'emprise de Brother Devon qui le coince dans les cordes et il l'envoie à présent dans son coin, ou se trouve Rey Mysterio. Il regarde le luchador et lui dit qu'il peut clairement dominer les Dudley Boyz sans l'aide mais Mysterio ne l'entend pas de cette oreille, et alors que Nash envoie dans Brother Devon dans les cordes, Mysterio effectue un blind tag et c'est la consternation, Nash est fou de rage, mais l'arbitre le force à sortir alors que Nash et l'arbitre sont en plein conflit, Mysterio entre sur le ring. Mais Bubba vient, sans même avoir effectuer le changement ! Pendant que l'arbitre a le dos tourné, les Dudley Boyz portent leur célèbre Dudley Death Drop ! Et il enchaine avec le tombé pendant que Bubba sort du ring, Nash lui s'en va. Vainqueur : The Dudley Boyz.
Les Dudley Boyz lanceraient-ils un message pour faire comprendre qu'ils seront les prochains Tag Team Champions ? Alors que les deux hommes se dirigent vers les cordes pour sortir du ring, une musique bien connue se fait entendre.
Booker T et son frère Stevie Ray, ceux qui affronteront les Dudleys à Thunderstorm pour les titres par équipe sont là, micros en mains, tenues de lutte sur eux. Les deux hommes montent sur le ring et font face à leur futurs adversaires. Les deux équipes ne se sont jamais rencontrées, mais on sait que les deux fratries sont deux grandes équipes. Après plusieurs instants de regards glacials entre Devon et Stevie et entre Bubba et Booker, celui-ci prend la parole. Il dit que non seulement il est le "five time, five time, five time, five time, five time" WCW Champion, mais qu'avec son frère, ils ont aussi été dix fois champions par équipe à Orlando. Il dit que la meilleure fratrie de tout ce sport, ce n'est pas les Dudleys, mais bien les Huffman. Booker fait une pause, alors que Bubba Ray le fixe toujours haineusement, il y a de la tension dans l'air.
Booker T continue, il dit qu'à Thunderstorm, son frère et lui deviendront champions par équipe, encore une fois. Il clame haut et fort que les Dudleys leurs sont inférieurs, et que leur palmarès ne veut rien dire, car ils n'ont jamais affrontés les Harlem Heat. Booker T demande à la foule ce qu'ils en pensent, il leur demande si ils pensent que les Dudleys vont battre les Harlem Heat. La foule hue les Dudleys, ce à quoi Devon et Bubba sourient, et ils encouragent la foule à les huer encore plus. Booker T demande alors à la foule de donner de la voix pour ceux qui vont remporter le match d'après eux. Un grand chant "Harlem Heat" part dans la foule et fait le tour de l'arène, reprit par chaque personne qui se lève pour scander le nom de leur équipe favorite.
Les Dudleys reprennent un air sérieux et avancent d'un pas comme un seul homme, les deux équipes sont maintenant front contre front, la tension est palpable, et les cris en faveur des Harlem Heat redoublent d'intensité. Finalement, la tension explose et Devon pousse Stevie qui recule de deux pas, Bubba fait comme son frère et Booker T arrive au niveau du sien. Les Harlem Heat s'échangent un regard et poussent à leur tour les Dudleys, qui, étant bien plus lourds, ne reculent que d'un pas. La foule cri encore en faveur des Harlem Heat, mais alors que Bubba et Devon semblent être prêt à frapper, Bubba envoie un bras d'honneur à Booker T et sort du ring sur la droite de Booker, tandis que Devon fait de même. Les deux frères s'en vont, tout en faisant signe que les Harlem Heat ne sont pas assez bon pour eux.
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Après une page de pub vantant les mérites des céréales Fruity Pebbles, nous voilà de retour à l'American Airlines Arena où la foule est toujours aussi excitée. Jim Ross nous rappelle que juste avant la pub, le Harlem Heat et les Dudleys se sont longuement observés et que les deux équipes se retrouveront à Thunderstorm où les titres par équipes seront en jeu. Ventura annonce ensuite que c'est l'heure de la venue de Bill Goldberg, pour son annonce.
Veste en cuir, démarche assurée, et chant de la foule en son honneur, Goldberg débarque tel un héros national à Dallas. Visiblement, il n'a pas de temps à perdre et s'empare du micro rapidement, il veut allez à l'essentiel.
La semaine dernière, il avait promit de donner le nom de la personne qu'il affronterait lors de Thunderstorm et il va le dire d'ici quelques secondes. Mais avant cela, il dit qu'il ne peut pas attendre encore trois longues semaines sans combattre et qu'il veut se jauger rapidement, dès la semaine prochaine lors de Sunday Night Wrestling III. Freakzilla annonce qu'il a obtenu l'autorisation de Mark Cuban en personne pour avoir ce match plus tôt, et qu'il sera bien sur la carte lors du prochain show.
Et lors de ce show, il affrontera une personne qu'il n'a jamais réellement apprécié, qu'il a déjà battu plusieurs fois, et qu'il battra encore la semaine prochaine. Il affirme que cette personne est une figure reconnue de la World Championship Wrestling et de la World Wrestling Entertainment et que son nom est... BIG SHOW ! Goldberg lui dit de bien se préparer, car la semaine prochaine, il sera le prochain.
Voilà une intervention claire et efficace, Goldberg pose son micro au sol et sort du ring et ne s'attarde pas sur la rampe. Il est venu, il a vu et il a été très clair.
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Et on passe à la suite, CM Punk fait son entrée accueilli comme il se doit par des hués, mais il n'en a rien à faire et avance tout sourire vers le ring.
Austin Aries, lui est accueilli par une meilleure réaction de la foule.
CM Punk vs. Austin Aries Le match débute par un classique tour de ring, les deux adversaires se tournent autour sans réellement se toucher, mais Austin Aries se lance finalement à l'attaque. Et ce sont des droites qui pleuvent sur CM Punk, qui est totalement surpris de la puissance dégagée par The Austin Starr. Il enchaine avec une Clothesline avant de finir sur un Dropkick qui propulse Punk au sol. Mais Austin Aries n'a pas le temps de dominer CM Punk, il se prend un coup de pied dans la tête, qui le sonne et qui laisse le temps à Punk de se relever et c'est à son tour de porter des droites et des gauches sur lui, il continue en portant un Suplex avant de terminer avec un Running Knee Drop sur Austin Aries. Il le relève et l'envoie dans le coin du ring, avant de porter une série d'atemis qui résonne dans toute l'arène. Et il enchaîne en prenant son élan et finit par porter un Shining Wizard Combination. Et il semble être prêt à porter son GTS, pour envoyer Aries au pays des rêves ! Et le GTS est porté à la perfection, Punk enchaîne avec le tombé et remporte ce match. Vainqueur : CM Punk.
CM Punk vient de battre Austin Aries mais sa joie est de courte durée puisque Steve Corino débarque de nul part, chaise en main. Le Canadien s'en prend à Punk avec un monstrueux Chairshot qui fait chuter le Straight-Edge, inconscient, au sol. Son visage est couvert de sang et Corino, le visage grave, déplie la chaise pour s'asseoir dessus en ayant, au préalable, prit le soin de prendre un micro.
Steve explique le fait qu'il est un anti-violence et que son appartenance à la ECW ne signifie pas qu'il aime la boucherie et l'odeur du sang. Cependant, il estime qu'un coup de chaise comme il vient de le donner à Punk a le mérite de remettre les idées en place et qu'il était nécessaire pour lui de faire ce qu'il vient de faire. Steve affirme avoir les idées parfaitement claires et qu'il le prouvera à CM Punk la semaine prochaine, et qu'il lui conseille d'être prêt à cela.
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Le prochain match va avoir lieu et il va opposer le number one contender au titre de la LWP, Randy Orton, au King of Bling-Bling, Chris Jericho. Le tout sous un parfum de revanche après ce qui s'est passé il y a quelques mois à la WWE. Une chose est sûre, la foule est toute acquise à Jericho.
Randy Orton vs. Chris Jericho Le face à face entre les deux hommes est intense, la foule le ressent d'ailleurs parfaitement et encourage du mieux qu'elle peut le King of Bling-Bling. Ce dernier attaque d'ailleurs le match pied au plancher avec une série de droite et un Dropkick afin d'obtenir un premier pinfall. Orton tente de revenir dans le match mais Y2J est présent physiquement et mentalement pour conserver le match à son avantage. Seulement voilà, l'erreur à ne pas commettre avec Orton, c'est lui laissé le temps de respirer. Jericho est trop optimiste et se moque d'Orton en lui envoyant une série de gifle en lui tenant le visage, mais le Legend Killer riposte avec un RKO from nowhere qui cloue Jericho au sol. Le compte de trois s'en suit, et Randy Orton s'en sort une nouvelle fois comme grand gagnant. Vainqueur : Randy Orton.
Deux matchs et autant de victoires pour le Legend Killer qui reste plusieurs secondes à regarder le corps inerte de son adversaire. Il n'y a aucun doute, Orton mérite bien son titre de challenger et il est à prendre très au sérieux.
Mais Jericho n'est cependant pas au bout de ses peines. Alors que Randy Orton fait ses taunts sur le turnbuckle, le Dirt Sheet débarque sur la rampe et monte sur le ring en courant pour attaquer Y2J. Le King of Bling-Bling tente de se défendre mais Morrison et le Miz prennent rapidement l'avantage. Morrison place d'ailleurs son Moonlight Drive. Miz le rue ensuite de coups de pieds et en voyant ce spectacle, Orton se joint à la fête et les trois hommes passent Jericho à tabac et ce dernier ne peut qu'encaisser les coups.
Alors que tout semble perdu, la foule reprend vie. En effet, Mick Foley et Raven débarquent ensemble avec une chaise en main. Les deux hommes passent sous la première corde pour venir en aide à Jericho. En voyant le danger potentiel, Miz et Morrison préfèrent quitter le ring alors qu'Orton s'enfuit par les tribunes, en pointant tout de même du doigt les deux hommes, dont l'un sera son futur adversaire. Les officiels, eux, viennent s'occuper de Jericho alors que Foley et Raven font les cent pas sur le ring.
La Main-Event, c'est juste après un dernier petit détour en backstages.
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Alors que Mick Foley et Raven viennent de sauver Jericho d'une déconvenue certaine, nous faisons un détour express par les backstages avant le Main-Event de la soirée. Nous voyons un homme marcher de dos, la démarche assurée. Il s'arrête auprès d'un officiel et demande le chemin pour accéder au bureau de JBL. L'officiel lui montre le chemin et l'homme mystère continue son chemin, et nous n'arrivons toujours pas à percevoir son visage.
Après un dernier détour, nous voilà au bureau de General Manager. L'homme mystère frappe trois fois à la porte et finit par ouvrir la porte. La caméra se coupe aussitôt.
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Main Event qui s’annonce du feu de dieu entre deux fou-furieux qui ont le coup de chaise facile. Le premier est une légende dont la légendaire chemise rouge et noir a atteint un statut presque cultissime, j’ai nommé ni plus ni moins que THE HARDCORE LEGEND Mick Foley ! De l’autre coté, le corbeau le plus effrayant de l’histoire de l’humanité, Raven.
Mick Foley vs Raven. Sans même attendre le moindre signal de la part de l’arbitre, la guerre eclate déjà. Foley se jette sur Raven avec l’intensité qu’on lui connait a grand coup de poing dans les gencives. Mais Raven ne se laisse pas faire et contre attaque immediatement avec un grand coup de tête et quelques droites bien senties. Le corbeau roule en dehors du ring et se saisi de manière quasi immediate d’une chaisse qui trainais sous le ring, problème, Foley a fait pareil. Les deux remontent sur le ring et s’en suis un combat epique ou les deux lutteurs parent leurs attaques chacun a leur tour mais Foley, peut-être un peu plus lent, se fait toucher le premier ouvrant la porte a un massacre sans nom. Raven en profite et continue d’ensevelir son adversaire sous les coups de chaise, lui ouvrant surement quelques vieilles blessures a la vue du visage meurtri et saignant de Mick Foley. Mais ce dernier n’en demord pas et semble en redemander ! Raven lui jette la chaise a la tête avec une rage indescriptible et roule en dehors du ring, probablement pour aller cherche une arme peut-être plus efficace comme par exemple une batte Foleyesque enroulé de barbelés. Mais le temps que Raven revienne sur le ring, Foley s’est déjà relevé et l’acceuil avec un enorme coup de chaine. C’est alors qu’un gros temps fort commence pour la legende du hardcore a base de tentative d’etranglement, de coups de batte et de coups de chaise avant de finir sur un magnifique con-chair-to . Mais Raven n’abdique pas et les deux lutteurs se retrouvent face a face, chaise et batte a la main, du sang coulant presque a flot sur leurs deux visages. Mais Mick Foley, peut-être plus fringuant alors qu’il est dans son temps fort, frappe le premier et frappe vicieusement la batte de Raven qui touche son propriétaire. Deux trois coups de chaise plus tard, Foley tente le tombé et sort victorieux de ce match haut en couleurs et en taches de sang. Victoire : Mick Foley.
Le match est fini, et malgré la défaite de Raven, il n'est pas rancunier, il en vient à serrer la main du vainqueur, qui sait désormais qu'a Thunderstorm c'est lui qui affrontera Randy Orton pour le LWP World Title. Mais quand voilà, on parle du Legend Killer. Il entre dans le ring, par derrière et sournoisement il porte un premier RKO sur Mick Foley.
Mais Raven s'aperçoit de ce qui se trame dans son dos, il vient à la rescousse de Foley, mais ce dernier le contre et lui porte un RKO. Les deux Main Eventers de notre soirée se retrouvent au sol, tandis que Randy Orton lui pose en vainqueur.
Voilà un message clair de la part du Legend Killer, c'est tout pour cette semaine. La suite au prochain numéro.